Hundert Jahre weinen oder hundert Bomben werfen (Cent ans de pleurs ou cent bombes) est une pièce de théâtre basée sur des conversations entre l'auteur et un ancien légionnaire étranger. Tous les personnages et les actions sont basés sur des personnes et des événements réels. Au début des années 1960, des dizaines de milliers de volontaires germanophones se sont retrouvés à Sidi Bel Abbess, le « berceau de la légion » en Algérie, et ont reçu une formation militaire. Ensemble, ils chantaient des chants de l'armée française, mais aussi des chants de la Wehrmacht allemande. De nombreux instructeurs étaient d'anciens SS. Les crimes de la Seconde Guerre mondiale se chevauchent avec les « événements » de la guerre d'Algérie, les victimes de Mauthausen sont soudain confrontées à leurs bourreaux, dans des rôles différents. La Légion a promis aux légionnaires, souvent encore mineurs, la « chair à canon », la cohésion et la sécurité, la « solidarité » et l'« égalité », comme le dit le code de la Légion étrangère. Sous couvert de camaraderie et avec la promesse d'une nouvelle identité, les jeunes hommes commettent des crimes de guerre, y compris contre la population civile. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

La pièce de théâtre (« Tu es arbitraire, tu es une montagne menteuse, tu es une terre minée d'âmes » ou « Les âmes minées ») est basée sur l'étude de dossiers et d'entretiens avec les personnes concernées qui ont été placées dans des centres d'éducation au travail, des institutions pénales, des maisons de correction ou des services psychiatriques en Suisse jusqu'en 1983 pour des « comportements moralement répréhensibles ». Les fonctionnaires utilisaient des critères arbitraires pour décider qui devait être « rééduqué ». Plus de cent mille personnes ont été concernées. Les « soins » ne s'adressaient qu'aux personnes touchées par la pauvreté et à d'autres groupes marginalisés, tels que les femmes seules, les homosexuels, les orphelins et les sans-papiers. L'auteur raconte l'histoire de personnages individuels dont les vies se croisent à plusieurs reprises. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

« Nulle part en paix. Antigone » : L'Antigone d'aujourd'hui n'est plus un individu, elle est multiple, elle est liée et agit ensemble. Dans la réécriture de l'original de Sophocle par Stocker, elles sont trois, privilégiées différemment et agissent à partir de perspectives différentes. Comme l'Antigone antique, ils se demandent quelle vie est en deuil (cf. Butler), qui mérite des funérailles et qui est à la merci d'une simple survie au cours de sa vie. La pièce a été écrite sous l'impression du Printemps arabe et du début du sauvetage en mer organisé par des civils en Méditerranée. À une époque où de nouveaux mouvements de protestation émergeaient également dans certaines parties de l'Europe et où la question d'une définition globale de la démocratie se posait à nouveau. L'ancienne Thèbes devient la forteresse Europe, la guerre qui fait rage à l'extérieur des murs doit être comprise comme un symbole de la bataille qui se déroule aux frontières extérieures de l'Europe. Pourquoi la construction de stéréotypes ennemis reste-t-elle une constante fondamentale de l'action politique ? s'interroge l'auteur qui, par contraste, crée l'image d'une génération qui croit à la solidarité et à l'humanisme universel et qui pousse à la révolte. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

Die Vögel sind weg (Kurzstück) UA Juni 2015 Stadttheater Bremerhaven Precious (Kurzstück) UA im Mai 2014 am Schauspielhaus Zürich im Rahmen des Transit Festivals. Regie: Kamila Politovska Take care comrade (Kurzstück) Performance am 17.02.2014 am Theater Freiburg im Breisgau im Rahmen des Art Affects Festivals. Regie: D.Stocker Reicht es nicht zu sagen ich will leben (Co-Autorenschaft mit Claudia Grehn) UA: 30.06.2011, eine Koproduktion des Deutschen Nationaltheaters Weimar mit dem Schauspiel Leipzig, Regie: Nora Schlocker https://nachtkritik.de/index.php?option=com_content&view=article&id=5854:reicht-es-nicht-zu-sagen-ich-will-leben-ua-nora-schlocker-verabschiedet-sich-mit-einer-fulminanten-inszenierung-aus-weimar&catid=82:nationaltheater-weimar&Itemid=100190 Zornig geboren UA: 03.06.2009, Maxim Gorki Theater Berlin / Ruhrfestspiele Recklinghausen. Regie: Armin Petras. https://nachtkritik.de/index.php?option=com_content&view=article&id=2909&Itemid=100190 Nachtblind UA: 18.03.2006, Theater an der Winkelwiese Zürich, Regie: Brigitta Soraperra https://www.nzz.ch/articleDOIQ4-ld.44535

- „Detox deine Weiblichkeit“, Böll Stiftung, Monkeybar Basel, 2019 https://theartofintervention.wordpress.com/2019/10/29/detox-deine-weiblichkeit/ -„Die Armen stehen jetzt zuvorderst“ Über Kairo in der WOZ, Januar 2012 -„Winterreise nach Kairo“, Theater der Zeit, Januar 2012 https://www.woz.ch/1201/kairo-im-dezember/die-armen-stehen-nun-zuvorderst - Von Buchenwald nach Europa (Beitrag zum Buch) https://www.zvab.com/9783941830141/Buchenwald-Europa-Gespr%C3%A4che-ehemaligen-Buchenwald-H%C3%A4ftlingen-3941830147/plp